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Comment Prendre une Année Sabbatique Peut Transformer Votre Vie
✨ Envie de redécouvrir ce qui compte vraiment dans votre vie ? Prenez une pause ! 🛑 Dans mon nouvel article, je partage comment une année sabbatique a transformé mon quotidien de maman et femme. Osez vivre vos rêves ! 🌟 #AnnéeSabbatique #DevPerso
Dans une époque où tout va à 100 à l’heure, nous nous laissons souvent happer par un quotidien fait de to-do lists interminables, d’objectifs professionnels à atteindre, et de rôles à assumer. Mais que se passerait-il si, au lieu de continuer à courir, nous décidions de tout arrêter ? Prendre une année sabbatique, c’est bien plus qu’une simple pause : c’est une prise de pouvoir sur son temps,…
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Agents of F.G.T.I.
Je m'appelle Mélia, j’ai seize ans et je suis un agent du F.G.T.I.
Je sais, je sais ce que vous allez dire ``tu es beaucoup trop jeune pour être un agent!``.
Mais laissez moi vous raconter mon histoire jusqu'à mes seize ans. Et puis je suis pas la seule qui a seize ans au F.G.T.I.
…
Le F.G.T.I. est le sigle de Fédéral, Groupe Tactique d’Intervention, agence qui a pour but de protéger le Canada des terroristes comme Hydra ou tout autres assaillants. Ses un peu comme le S.H.I.E.L.D. mais juste plus discret et plus vigilant en termes de choisir ses recrues . Bon, ce n'est pas difficile de battre le S.H.I.E.L.D. en termes de discrétion, mais ils n’ont vraiment pas remarqué qu'il y avait des taupes d’Hydra au sein de leur agence? En même temps recruter des scientifiques n*zi juste après la deuxième guerre mondial ses pas l’idée du siècle.
Bref, je suis né au Québec de deux parents aimants, mais bon ça n'a pas durer longtemps ma mère est morte d’un cancer vers mes trois ans. Mon père qui travaillait au F.G.T.I. en tant qu'agent de terrain a décidé de prendre un congé sabbatique d'un an et demi pour pouvoir pleurer la perte de ma mère et s’occuper de moi. Lors de ma rentrée scolaire un an plus tard, j'étais assis seul sur un banc au fond de la cour lorsqu'un garçon blond aux yeux vert est venu s'asseoir à côté de moi il s'appelait Philippe, mais il préférait qu’on l'appelle Phil. Très vite, on est devenu inséparable. Un jour, vers mes six ans, mon père m'a amené au F.G.T.I. ses la que j’ai rencontré la coéquipière de mon père Alinova Selensnova. Elle était moyennement grande avec des yeux bleu glacial et de long cheveux noir. Mon père pour une quelconque raison m'a laissé avec Alinova pendant une dizaine d’heures. Elle préférait qu’on l’appelle Alina, je l'ai tout de suite aimée malgré son air froid. J’y suis allé tous les jours après l’école avec mon père. Alina a commencé à m’apprendre le ballet trois jours par semaine. Je voulais vraiment faire ce que les agents faisaient. Donc vers mes sept ans j’ai commencé l'autodéfense et les arts martiaux avec Alina en plus du ballet et la gymnastique.
A suivre...
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IMPORTANT
La suite sortira prochainement.
On est environ dans la saison deux de agents of shield. Plus tard dans un autre livre qui sera la suite il y aura le S.H.I.E.L.D.
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Dimanche 29 mars 2020
Entre deux migraines, je relis mon œuvre d’hier, et je le dis en toute humilité : j’ai du mal à me remettre d’être parvenue à tisser une prose aussi époustouflante.
Je commence à recevoir un certain nombre de messages d’encouragement. Des gens du commun m’apportent leur témoignage d’un peu partout en France.
Il y a Robert, qui a lancé un blog il y a une quinzaine de jours, “comme vous, Madame de Saint Léger”. Comme il est touchant. Depuis son deux-pièces au premier étage dans un immeuble de Clichy qui en compte vingt-trois, tous les midis, ce sympathique père de famille tend le bras par la fenêtre, son téléphone en main, pour prendre une photo du ciel et “voir le temps qu’il fait”. Puis il poste la photo en ligne, carré de ciel bleu, gris, ou nuageux, encadré par le haut des immeubles qui délimitent la cour intérieure sur laquelle donnent ses fenêtres. Il y aurait toute une réflexion artistique à formuler autour de ce passe-temps gentillet. C’est d’autant plus beau qu’il ne le sait pas, comme une femme est d’autant plus belle lorsqu’elle l’est sans le savoir.
Il y a Gaëlle, confinée avec son époux et ses deux enfants, qui rêve depuis des années de prendre un congé sabbatique pour écrire des thrillers. L’entreprise pour laquelle elle et son mari travaillent a mis tout son personnel au chômage technique. La journée, Gaëlle s’occupe des enfants, des repas, de l’entretien de la maison, et du jardin. Le soir, alors que son rêve de congé sabbatique s’est pourtant réalisé, elle se retrouve coincée devant une page blanche, comme hébétée. “C’est comme si j’étais vidée”. Son époux, lui, s’est lancé dans la conception d’une bande dessinée, et son projet avance à vive allure. Sans doute que lui a su lâcher prise sur certaines choses. “Pendant que je m’occupe de l’intendance, il passe toutes ses journées, du matin au soir, avec ses crayons, son aquarelle et son papier Canson,” m’écrit-elle. La fierté qu’elle éprouve à l’égard de son petit mari me réchauffe le cœur.
Je reçois beaucoup de messages de personnes aspirant à devenir écrivain. Kevin, ouvrier d’une usine elle aussi au chômage technique, constate que le roman qu’il a dans la tête depuis trois ans au moindre détail près ne s’écrit pas aussi facilement qu’il l’aurait cru. À la lecture de sa prose naïve, je constate avec attendrissement qu’elle ne comporte pas la moindre faute de français. Les correcteurs automatiques sont aujourd’hui d’une efficacité terrifiante. Kevin me raconte qu’il ne parvient à griffonner sur son brouillon que des scènes ratées et des sentiments confus.
Eh bien oui.
C’est un métier.
Mais c’est avant tout un don.
Une certaine Lola m’a demandé de façon très laconique: “C’est du second degré ?!” – sans Bonjour, ni Merci, ni Au revoir. Je ne sais pas à quel passage précis elle fait référence, mais oui, bien sûr qu’il m’arrive de faire du second degré. Je me love et m’épanouis dans tous les registres et dans tous les styles possibles. Je suis un animal littéraire ! Et même si je goûte généralement peu le sarcasme – trop d’agressivité passive – je sais parfaitement être dans l’auto-dérision.
J’accueille tous ces messages de sympathie et d’admiration avec beaucoup de gratitude et d’humilité, alors qu’au dehors, le vent souffle de toutes ses forces. En haut de la colline de Trouville, le vieux manoir tremble et les courants d’air remuent la poussière. Confinée dans ma chambre au second étage, avec pour seule distraction quelques rares visites de Dolores, il m’arrive d’aller contempler par la fenêtre la vue sur le jardin et sur la mer. Comme Robert avec son smartphone brandi au bout de son bras tendu au milieu des édifices, je cherche parmi les nuages gris un petit coin de ciel bleu.
Un coup de fatigue. Je vais m’allonger quelques minutes. Coup de fil à Dolores : je veux qu’elle me passe Édouard.
– Mais il est en plein cours de chinois sur Skype avec son professeur ! me répond-elle dans un parler indistinct.
– Le chinois attendra.
Je l’entends qui explique à mon fils que sa maman veut lui parler. Il râle un instant parce qu’il aime bien faire le grand.
– Oui, Maman ?
– Ça va mon chaton ? Je voulais simplement entendre le son de ta voix.
– Oui oui, ça va. Tu t’ennuies ?
– Non, tu sais. J’apprécie beaucoup ma propre compagnie.
– J’ai cours avec Qiang, là. Tu veux que je te passe Henri ?
– Non non, repasse le portable à Dolores, mon grand. Bon cours.
Je raccroche, un sourire serein sur les lèvres. Henri est trop petit pour parler au téléphone, ça prend toujours des heures. Je l’entends qui pleure en bas. J’espère qu’il ne s’est pas fait mal.
Je reprends mon téléphone et je vais me promener un instant dans le ventre de la bête immonde de notre époque, grande moissonneuse-batteuse des intellects, grande messe bruyante de la pensée unique, à laquelle je participe à mon corps défendant, par pure nécessité. Effleurement de l’icône bleue et blanche, et la vie, les visages et les lectures de mes amis s’étalent sous mes yeux.
Facebook.
Tout cela me met très mal à l’aise. J’ai du mal à comprendre que l’on puisse exposer ainsi sa vie privée.
Tiens, la publication que j’ai postée hier pour annoncer que j’étais atteinte du Covid-19 compte trente-six nouveaux likes, et douze nouveaux commentaires. Je ne peux m’empêcher de remarquer que Claire, avec la video de son fils qui joue à l’aventurier sur le canapé de leur salon, n’a fait que six likes.
Je suis rassurée de voir que les gens préfèrent encore les mots vrais aux vidéos anesthésiantes.
Je like à mon tour les commentaires qui m’ont été laissés, mais je n’y réponds pas. Je posterai un merci général si jamais je m’en sors.
Je continue de descendre. Mon ami Pierre-Henri a posté une video de son chat qui a dépassé les trois mille vues. Comme les gens doivent s’ennuyer ! Cela me dépasse. Cette période de confinement, c’est l’occasion rêvée de faire tout ce que l’on persiste à remettre au lendemain, ou, comme Kevin et Gaëlle, de s’essayer à un nouveau hobby !
Quelle idée bizarre, tout de même, de perdre ce temps si précieux, ce bien insaisissable dont nous ne disposons qu’en quantité finie, pour regarder un chat donner des petits coups de patte dans une araignée de jardin. Et puis cette video est mal filmée, tout y est flou, et il ne se passe rien d’incroyable à la fin.
À l’idée que tant de personnes puissent préférer cela à n’importe quelle saine lecture, je suis envahie d’un pessimisme glaçant.
Je pose mon téléphone, étourdie d’angoisse.
Je bois une gorgée d’eau.
Je respire.
Pourquoi mes contemporains courent-ils en permanence derrière le divertissement le plus criard et le plus bruyant possible ? Pour ma part, je suis plutôt d’un naturel contemplatif. Paresseuse contrariée qui trouve somme toute une certaine satisfaction à ce confinement. S’il n’était pas une telle source d’anxiété, je crois bien que je pourrais m’y faire, à cette dolce vita, cette douce vie où l’on peut se laisser aller à regarder les journées passer. À observer les variations infimes de la lumière sur le vert mouvant des feuilles, tout en entendant au loin les rires des enfants.
Temps propices à la création.
Et si cette crise nous amenait à repenser le monde différemment ? À repenser nos vies pour les ramener à l’essentiel ?
Je pense à tout ce qu’il y a de vraiment indispensable dans mon existence, en dehors de l’écriture.
Respirer.
Lire les grands classiques littéraires, et quelques écrivains contemporains.
Manger correctement.
Passer des moments privilégiés avec mes enfants, sans avoir à me soucier des basses questions logistiques.
Le violon.
Victor.
Je me rends compte que mis à part le violon, pauvre ami fidèle resté à Paris pour garder la maison, j’ai là tout ce qu’il me faut vraiment, et même plus – j’ai également un jardin, la présence rassurante de mes parents, et mille et une autres petites choses.
Mais à bien y réfléchir, en faisant un petit effort, nous pourrions, tous, nous contenter de peu.
Je rappelle Dolores au téléphone pour qu’elle nous prépare pour le dîner des bouchées de lotte au pamplemousse et au safran et une pavlova à la poire et aux amandes.
Des aliments sains et bons.
Des choses simples. Surtout ne jamais passer à côté.
—Ludivine de Saint Léger
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Eddie Redmayne : "Comme chaque comédien, je suis un peu masochiste “
Par Paola Genone | Le 23 mars 2017
Depuis son oscar pour l’interprétation de Stephen Hawking dans Une merveilleuse histoire du temps, c’est un acteur à suivre.
On pourrait passer des heures à observer son visage anguleux, son long cou et sa grâce mystérieuse à la Modigliani. Dans ce studio photo au sud de Londres, la température ne dépasse pas les 4 °C, mais Eddie Redmayne, dans une élégante tenue printanière, reste impassible. « Il fait beau, il fait chaud et je suis concentré sur mon personnage », lance-t-il. Ce personnage, qui n’appartient à aucun scénario, le comédien anglais, ambassadeur des montres Omega, ne le fait vivre que le temps de ce shooting, comme il en a vécu d’autres à l’époque où il était mannequin : « J’ai toujours conçu la mode comme un art. Mon père m’a transmis son sens du style, et il m’a toujours dit qu’un costume bien coupé est comme une armure qui donne confiance en soi. Mais, pour travailler avec un photographe, j’ai aussi besoin d’inventer une histoire et de la vivre, de me glisser dans la peau de quelqu’un d’autre. Ici, j’ai pensé à James Dean, à Michael Caine… Difficile de scinder leur personnalité de leur jeu. »
On comprend mieux ce qu’entendait sa partenaire Michelle Williams à propos du tournage de My Week With Marilyn, de Simon Curtis, où il jouait un jeune assistant-réalisateur transi d’amour pour la si vulnérable star hollywoodienne. « Eddie n’interprète pas son personnage. Il l’incarne totalement et avec une telle intensité que cela en devient troublant. J’avais cette étrange sensation d’avoir son personnage en face de moi, qui semblait sortir soudain du grand écran pour jouer Eddie Redmayne… »
Depuis que son talent d’acteur total a été révélé au grand public grâce à ce film en 2011, Redmayne ne cesse de jouer avec le feu, se métamorphosant de façon spectaculaire pour chacun de ses rôles. Pour The Danish Girl, qui lui valut une nomination dans la catégorie Meilleur Acteur aux oscars 2016, il avait pris des cours de danse - « tout en étant terrifié de ne pas être à la hauteur de cette histoire vraie », dit-il - pour livrer une performance bouleversante dans le rôle d’Einar Wegener, ce peintre danois qui, en 1930, subit l’une des premières opérations pour changer de sexe et devenir Lili Elbe.
L'amour du risque
Si la délicatesse de ses traits et sa silhouette androgyne l’ont certainement aidé dans ce tour de force - « Je suis la copie conforme de ma mère, et on m’a souvent pris pour une fille » -, son jeu dans le film de Tom Hooper allait bien au-delà de l’apparence : avec de la subtilité et une mise à nu cruelle, Redmayne réussissait à sublimer les démons et les questionnements d’identité d’Einar Wegener, à cette époque où les transsexuels étaient considérés comme des êtres pervertis qu’on tentait de ramener dans le « droit chemin » à coups d’électrochocs.
Par ses prises de risque permanentes, Redmayne suscite un grand respect chez des comédiennes aux choix engagés, comme Felicity Jones, qui jouait sa femme dans The Danish Girl, ou Julianne Moore, qui avait tout fait pour que Redmayne, alors âgé de 25 ans, incarne son fils dans Savage Grace (2007), autre film adapté d’une histoire vraie, qui évoquait une relation incestueuse. « Eddie n’a pas peur de provoquer, de se questionner, nous avait raconté à l’époque Julianne Moore. C’est un mélange fascinant de flegme et de feu, un comédien qui puise la force de son jeu à vif dans ses expériences au théâtre. »
Une éducation théâtrale
Le théâtre, c’est peut-être là qu’on peut chercher l’explication du « mystère » Redmayne, comédien entier, tout à la fois fragile et fort, comme mû par une discipline qui ne s’acquiert que sur les planches. Eddie Redmayne a débuté très jeune sur scène, jouant dans de petits théâtres londoniens. « J’ai toujours été passionné par ce monde, confie-t-il, par les costumes que je voyais, enfant, dans les coulisses de la Royal Opera House de Londres, où ma mère m’emmenait. Même s’ils ne viennent pas d’un milieu artistique, mes parents ont toujours encouragé mon amour pour la scène. »
Il se revoit, à 10 ans, avec ses cheveux « couleur feu », comme il se décrit en riant, en train d’auditionner pour une comédie musicale d’Irving Berlin. « Je me suis retrouvé au milieu de sept cents mômes. J’étais terrorisé et je n’ai pas été pris. Mais comme l’a dit Oscar Wilde : “Il faut toujours viser la lune, car, même en cas d’échec, on atterrit dans les étoiles.” » Au fil de sa carrière, Redmayne a plus d’une fois « atterri dans les étoiles ».
Nul n’a oublié sa performance magnifique dans Une merveilleuse histoire du temps, où il incarnait Stephen Hawking, l’astrophysicien paralysé et pourtant en perpétuel mouvement. Pour ce rôle, qui lui valut un oscar en 2015, Redmayne avait perdu dix kilos, mettant à rude épreuve son corps déjà frêle. Il avait rencontré Hawking sur sa chaise roulante, passé des mois à étudier le plus imperceptible mouvement de son visage, de sa silhouette bancale, pour parvenir à restituer sa force d’esprit, son ironie, son acharnement à vivre. À tel point qu’au soir des oscars l’astrophysicien devait le féliciter sur sa page Facebook dans un message poignant qui se terminait par : « Bien joué, Eddie. Je suis très fier de toi. - SH. » Son amie Jennifer Lawrence, elle aussi impressionnée par sa prestation, lui avait lancé : « Tu es extraordinaire, mais il faut être masochiste pour sacrifier son corps et son esprit à ce point pour le cinéma… »
L'accord parfait
Dans ce studio photo de Tottenham, Redmayne rougit et éclate de rire quand on lui rappelle cet éloge ironique de Lawrence : « Comme chaque comédien, j’ai sûrement en moi une certaine dose de masochisme, aggravé par un désir obsessionnel de restituer de la façon la plus pure possible la complexité d’un personnage ou d’un texte, reconnaît-il. Souvent, les gens me demandent si je ne m’ennuie pas à jouer tous les soirs la même pièce pendant neuf mois, comme je l’ai fait en incarnant l’assistant du peintre Mark Rothko, à Londres puis à Broadway, dans Red (création pour laquelle il a remporté le Laurence Olivier Award et le Tony Award du meilleur acteur). La réponse est non ! Parce que la grandeur du théâtre, c’est de creuser tous les soirs et de chercher l’accord parfait comme en musique, ou l’instant décisif comme en photographie. »
Il dit qu’il n’oubliera jamais ce que lui a dit Robert De Niro lorsque celui-ci lui a offert l’un de ses premiers rôles dans Raisons d’État, en 2006 : « J’ai été formé à l’Actors Studio et toi à Cambridge, mais nous cherchons quelque chose de très semblable : le squelette du personnage, son ADN, sa musique intérieure. »
La passion des arts
Cette passion dévorante pour l’art est sans doute ce qui habite le plus Eddie Redmayne, à défaut de le définir vraiment. Si son passage sur les bancs du très chic collège d’Eton la même année que le prince William a fait couler beaucoup d’encre, tout autant que son obstination à continuer de se déplacer en métro malgré sa célébrité (remarque qui le fait se tordre de rire), on oublie souvent d’établir un parallèle entre son don de comédien et ses talents, plus méconnus, de peintre et de pianiste.
Diplômé en histoire de l’art du prestigieux Trinity College de Cambridge, Redmayne nous confie que cette passion remonte à son enfance, lorsqu’il a commencé à esquisser quelques notes sur le piano d’une copine, un été, dans le sud de la France. Il avait 5 ans et, depuis, il n’a jamais cessé de jouer… même s’il lui a fallu attendre des années avant de pouvoir s’offrir son propre piano, avec l’argent gagné dans l’adaptation au cinéma de la comédie musicale les Misérables (2012).
Chopin est une véritable obsession pour lui : « J’ai été si ému en découvrant le moulage en plâtre de sa main au musée de la Vie romantique de Paris ! » Paris, une ville qu’il adore et où il aimerait vivre : « J’y ai passé deux mois cette année avec ma femme », nous dit-il dans un français charmant et avec un accent qu’il qualifie de « ridicule » en s’excusant. C’est aussi en France qu’il a découvert la peinture : « Mes parents ont une maison près de Saint-Tropez, où je séjourne encore régulièrement. Mes premiers émois, je les ai ressentis dans un petit musée, l’Annonciade, devant les dessins de Matisse. Il a ce don de capturer un tout et de le restituer avec une économie de moyens, de traits. Quelle élégance ! »
Le temps de vivre
J’ai voulu prendre un congé sabbatique après mon dernier tournage
Aujourd’hui, Eddie Redmayne confesse éprouver le besoin de faire un break dans sa carrière. Visiblement attaché aux valeurs de la famille, il décrit avec tendresse et humour son nouveau rôle de père d’une petite Iris, née en juin dernier de son mariage avec Hannah Bagshawe. « J’ai voulu prendre un congé sabbatique après mon dernier tournage et rester à Londres, où j’habite avec ma femme et ma fille. Lire, aller à des expositions, réapprendre à prendre du temps pour me ressourcer », explique-t-il. Le tournage auquel il fait référence est celui des Animaux fantastiques, un spin-off de la saga Harry Potter, qui vient de remporter l’oscar des Meilleurs Costumes.
Désormais capable de faire le grand écart entre le cinéma d’auteur et les grosses productions, il évoque de façon hilarante ses difficultés à donner la réplique à d’invisibles animaux magiques, seul devant un écran vert. « Je tournerai le deuxième volet l’été prochain, avec Johnny Depp dans le rôle du méchant. J’ai toujours été fasciné par la magie. Enfant, j’adorais passer des heures dans le magasin d’un illusionniste-prestidigitateur avec ma grand-mère maternelle, qui vient d’avoir 95 ans. Quand je lui ai annoncé que j’allais faire ce film, elle m’a regardé comme si j’entrais à Poudlard et m’a dit : "J’ai toujours su que tu deviendrais un magicien !" »
PHOTOGRAPHER : SIMON EMMETT
http://madame.lefigaro.fr/celebrites/eddie-redmayne-comme-chaque-comedien-je-suis-un-peu-masochiste-200317-13058
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Assurance voyage: tout ce que vous devez savoir pour acheter la police parfaite
Un nombre record de vacanciers partent à l'étranger cet été, ce qui signifie que plus de personnes que jamais risquent de rencontrer des problèmes, qu'ils soient accidentels, criminels ou médicaux. Les coûts impliqués qui pourraient être alarmants - et certains constateront malheureusement qu'ils ne sont pas couverts. Ce guide devrait vous préparer à l’étrange et complexe monde de l’assurance voyage.
Ai-je besoin d'une assurance voyage?
Cela dépend de votre appétit pour le risque lorsque vous voyagez à l'étranger. Une police d'assurance voyage couvre un large éventail de pièges potentiels, à commencer par la possibilité de ne pas faire le voyage du tout. Presque tous les jours fériés consistent à payer de l’argent longtemps à l’avance et à en perdre tout ou partie si vous ne voyagez pas. La plupart des polices d'assurance voyage couvrent l'annulation et son cousin, le départ manqué. Ensuite, toutes sortes de choses peuvent aller mal en vacances. Vous pourriez être victime d'un vol ou nécessiter une évacuation médicale, ou même si vous êtes vraiment malchanceux, mourir à l'étranger. Tous ces incidents ont un prix. Sous réserve d'une série de termes et conditions, l'assurance voyage couvrira la plupart ou la totalité des coûts liés à l'imprévu. Vous devez décider des risques que vous êtes prêt à accepter et, par conséquent, décider de payer pour quelque chose que vous espérez ne jamais devoir utiliser: une assurance voyage.
N'est-ce pas idiot de voyager sans assurance?
Il est stupide de ne pas envisager ou non de souscrire une assurance voyage, mais s’en sortir peut être rationnel. Très peu de pays, notamment Cuba et l’Ouzbékistan, exigent une assurance voyage pour tous les visiteurs étrangers. Mais pour les autres voyages, vous pouvez raisonnablement décider de ne pas vous assurer. Si vous avez réservé un séjour à la Med, alors si vous ne pouvez pas voyager, vous pouvez vendre ou donner le voyage à quelqu'un d'autre (sous réserve de frais de changement de nom d'environ 50 €). La plupart des pays d'Europe sont couverts par le système de carte européenne d'assurance maladie (CEAM), offrant un traitement identique à celui des citoyens locaux. Et vous avez peut-être déjà une couverture pour vos objets de valeur grâce à votre police d’assurance habitation, ou ne transportez pas ce que vous ne pouvez pas vous permettre de remplacer. Si votre âge ou votre état de santé signifie que vous faites face à des primes élevées, vous pouvez décider rationnellement de s’auto-assurer, en d’autres termes, de ne pas vous assurer du tout. Ma belle-mère de 87 ans prend un nombre dérisoire de vacances en Europe chaque année et, à mon avis, ne paie pas une assurance voyage. Mais pour la plupart des gens qui se rendent dans la plupart des endroits, l'assurance voyage est une excellente idée. Placez une copie de la police, ainsi que le numéro de téléphone d'urgence, avec vos documents essentiels.
Devrais-je acheter un voyage unique ou une police annuelle?
Tout dépend de ce que vous planifiez. Si vous prenez habituellement un congé annuel de deux semaines à l'étranger plus une courte pause, alors une assurance couvrant des voyages spécifiques sera probablement la meilleure solution. Mais bientôt, il devient intéressant d'acheter une police qui permet un nombre illimité de jours fériés à l'étranger chaque année, sous réserve d'une durée maximale de voyage - généralement un mois. Vous pourrez peut-être payer un supplément pour prolonger cette limite.
Pourquoi la durée des voyages est-elle limitée?
Bienvenue dans le monde des actuaires. L'assurance fonctionne par tous les assurés qui se regroupent dans un fonds qui limite les inconvénients lorsque de mauvaises choses arrivent. Ils paient une prime qui n’aidera finalement qu’une petite minorité d’entre eux. Le niveau de cette prime est évalué par les femmes et les hommes qui utilisent des données historiques pour calculer le montant que le fonds paiera. Et ils savent que plus vous êtes en vacances, plus le risque est élevé.
Devrais-je utiliser un site de comparaison de prix?
Si vous avez moins de 65 ans, sans conditions médicales préexistantes et ne planifiez aucune activité aventureuse, la recherche en ligne vous aidera à vous faire une idée des niveaux de prix. Les offres les moins chères offrent généralement un niveau élevé de couverture médicale, mais avec une protection limitée, voire nulle, en cas d’annulation, de perte de propriété et d’avantages indirects tels que les retards. Une fois que vous connaissez le coût d’une politique de base sans fioritures, vous pouvez simplement vérifier que vous êtes satisfait des petits caractères et l’acheter. Mais il est plus judicieux de décider des risques importants pour vous et d’obtenir une politique couvrant les éléments clés. Si vous prévoyez un voyage onéreux à long terme, vous aurez besoin d’une couverture d’annulation appropriée, ce qui pourrait augmenter le prix. À l'inverse, si vous n'allez pas être exposé à des pertes potentielles substantielles (par exemple, parce que vous réservez toujours en retard ou que vous choisissez des vacances en camping pas chères en France), vous pouvez choisir une politique peu coûteuse, sans souci les urgences. La prime dépendra également des excès que vous êtes prêt à tolérer: si vous acceptez que la première tranche de 200 £ de toute réclamation pour effets personnels ne sera pas payée, vous pouvez vous attendre à un prix inférieur à celui de 50 £ seulement.
Pourquoi les primes augmentent-elles pour les polices «mondiales»?
Les réclamations relatives à des incidents survenus en Europe sont, en moyenne, inférieures à celles des pays plus éloignés - en partie à cause des avantages de la carte européenne d'assurance maladie (CEAM). Les coûts du traitement médical en Amérique du Nord sont beaucoup plus élevés qu'ailleurs. Parce qu'une grande partie du coût de la couverture est liée aux problèmes de santé, les primes sont augmentées en conséquence. Notez que «l'Europe» est définie différemment par différents assureurs. Si vous visez le Maroc ou l'Egypte, par exemple, cherchez une politique européenne qui les inclue.
Pourquoi les gens en mauvaise santé se font-ils arnaquer?
L'assurance voyage est un secteur extrêmement concurrentiel et de nombreuses entreprises voudront votre entreprise. Mais ils veulent aussi évaluer les risques de manière réaliste. L'expérience montre que les voyageurs ayant des problèmes de santé existants ont tendance à générer plus de sinistres que l'ensemble de la population et que le coût de ces sinistres est supérieur à la moyenne. Par conséquent, ils veulent une divulgation complète de votre état de santé afin de calculer la prime. Souvent, cela coûtera plusieurs fois le coût d'une police pour une personne de santé moyenne.
Que se passe-t-il si je mens à propos de ma maladie?
En cas de réclamation médicale, vous êtes susceptible d’être découvert. L'assureur voudra obtenir tous les détails de votre médecin traitant de tout problème médical préexistant lié à la condition. S'il s'avère que vous n'avez pas divulgué l'image complète, alors la réclamation pourrait être refusée. Pourquoi les polices annuelles pour les voyageurs plus âgés sont-elles si chères? En partie parce que les primes augmentent avec l'âge, mais aussi parce que les assureurs savent qu'une proportion importante de la population âgée prend beaucoup de vacances, souvent dans des régions exotiques du monde. Pris ensemble, cela donne un profil de risque nettement accru. Staysure et Saga se spécialisent dans l'assurance voyage pour les voyageurs âgés et peuvent offrir la meilleure politique de valeur pour vous.
Si j'ai un accident en état d'ivresse, suis-je toujours assuré?
Ça dépend. Les assureurs excluent généralement «toute réclamation résultant de votre influence sur l'alcool». La question est bien sûr de savoir comment définir être ivre. Les assureurs enquêteront toujours sur les circonstances de votre réclamation. Quelques verres de vin avec le dîner ne compteraient pas, mais un crawl pourrait bien.
Un parent est dangereusement malade et je ne peux pas voyager. Serai-je capable de réclamer?
Pas si la condition était connue au moment où vous avez souscrit la police. Si vous croyez qu'il existe un risque important que vous deviez annuler en raison de circonstances existantes, alors réserver à l'avance n'est pas une stratégie judicieuse. La plupart des personnes qui contactent l'agence de voyages The Independent cherchent un moyen de sortir des voyages des mois à l'avance pour les dates hors pointe.
Une politique annuelle couvre-t-elle une année sabbatique?
Non, en raison de la durée limitée des voyages individuels. De nombreuses options couvrent une année entière et vous pouvez comparer les prix sur des sites tels que MoneySuperMarket et GoCompare. Gardez à l’esprit que les voyageurs de l’année Gap ont souvent un goût pour les activités aventureuses; évaluez les possibilités, du saut à l'élastique à l'apprentissage de la plongée, et assurez-vous que ces activités sont couvertes.
Ai-je besoin d'une couverture spéciale pour escalader le Kilimandjaro?
Probablement. Vous vous qualifiez pour une politique de «trekking jusqu’à 6 000 m», car la plus haute montagne d’Afrique est inférieure de 105 m à cette limite et parce qu’elle est longue plutôt que technique. Mais pour tout ce qui est plus haut et plus ambitieux, consultez les politiques proposées par le British Mountaineering Council.
Avec qui vous assurez-vous et pourquoi?
J'ai cherché une politique familiale annuelle avec une couverture pour les sports d'hiver, une bonne couverture pour les annulations et des excès raisonnables, mais pas une panne de ligne (je n'ai pas l'intention d'acheter des billets pour les compagnies aériennes à risque). J'ai payé 223 £ via insurefor.com, mais de nombreuses autres bonnes politiques sont disponibles.
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